(Christine Auc.) Si je comprends bien, c'est une histoire de famille.
(Christine All.) À moins que le voisin soit le zinzin de la voie.
(Evelyne) Déjà la semaine dernière, il avait bombé le mur de Marcel.
(Pascale) Peu importe le mur, comment va le chien ?
(Christian) Mais quel chien ? Celui de la mémère où du pépère ?
(Monique) Le chien du pépé a été bombé.
(Michel) J’espère qu'il a été peint en jaune, j'aime bien cette couleur pour un chien.
(Gilles) On dirait une pétition, je propose qu'on peigne le gamin !
(Hug) Quoi ? Le peigne du gamin a servi à bomber le chien en jaune ?
(Thierry) Oui ! Ils lui ont fait la raie jaune au milieu, et bien dégarnie sur les oreilles.
(Agnès) Le chien dégouté est allé se refaire une couleur.
(Michèle) Si j'attrape ce gamin, je lui fais avaler sa bombe, pauvre chien.
(Jean-Marie) Les humains aussi se font des couleurs !
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