L'appel du large et de ma douce France,
Depuis le plus profond de mon enfance,
Me pousse à la porte du garage :
Je pars vers les grands alpages !
L'air me manque en avril à Paris
Même si je t'adore ma ville chérie !
Je vais chercher le jardin extraordinaire
Pour y respirer le grand air,
Y guetter le petit oiseau
Sur les bords du ruisseau.
J'y verrai le soleil et la lune
Briller tour à tour chacun et chacune.
Je pars. Un rien me fait chanter.
Tout est fête, adieu morosité.
C'est comme ça, y'a d'la joie
A partir de chez soi !
Savez-vous, vous qui passez sans me voir
Quel bonheur peut ainsi m'émouvoir ?
A tue-tête seule je chante
Le voyage qui m'enchante.
Je vole comme le Zéphyr,
Je m'envole de plaisir !
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